Jacques Pasquier se réserve un temps de réflexion avant de nommer ses œuvres achevées. Et tout cela pour aboutir à des titres qui restent très généraux : « la ville », « la rue » , « la campagne » …

Sa façon de titrer ressemble à sa façon de peindre. Quelque chose à la fois de concret et d'abstrait, de reconnaissable et d'imprécis.

Il permet au spectateur d'entrer dans la toile, de la comprendre, et d'y découvrir - avec la représentation - la peinture.